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de Stéphane Régnier



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 Images de la "Grande Guerre" (1914-1918)

Pendant les années de guerre de 1914 à 1918, ces images (ou "bons points") en
couleur étaient distribuées dans les écoles pour récompenser les élèves méritants.

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Le maréchal Foch généralisme et "son armée"

"Chef animé du plus pur esprit de devoir et ne connaissant aucune défaillance, le maréchal Foch joint à un caractère énergique toutes les qualités d'un haut stratège. Son génie militaire se révèle à la bataille de la Marne, où, profitant d'une fissure entre les armées ennemies, il culbute par une habile manoeuvre la garde prussienne dans les marais de Saint-Gond. Il soutient la résistance sur l'Yser, où il gagne l'entière confiance des Anglais, comme il se fait apprécier des Italiens après Caporetto. Devenu général en chef de toutes les armées alliées, il accomplit cette admirable offensive qui, de la poche de la Marne où ils se sont engagés, à l'Yser, va acculer les Allemands à une retraite qui assurera la grande victoire finale."

Ceux de l'arrière : le G.V.C.

"La guerre a mobilisé tous les Français de 20 à 50 ans. Mais tandis que les jeunes partaient au front, sur la ligne de feu, les vieux restaient à l'arrière pour garder le pays. Ils formaient la catégorie des anciennes classes, spécialement préposées à la surveillance des gares et des voies ferrées, à la défense des ponts contre les surprises toujours possibles du sabotage allemand. Braves gens qui, sous leur uniforme improvisé, vareuse recouvrant le pantalon de travail, vieux képi et simples godillots, fusil en port d'arme, avaient le sentiment, eux aussi, de bien servir la Patrie."

Nos alliés : les Serbes, le prince Alexandre

"Faussement accusée d'être la cause de l'assassinat de l'archiduc héritier d'Autriche et de sa femme, à Sarajevo, la Serbie se défendit héroïquement contre l'Autriche-Hongrie, sous la direction du jeune prince héritier, Alexandre de Serbie, un "vrai conducteur d'hommes". Mais, attaquée à la fois par les Allemands et par les Bulgares, alliés des Austo-Hongrois, son armée se vit acculée à une retraite désastreuse. Embarquée à Corfou sur des vaisseaux français, elle alla se reconstituer à Salonique et prit dans la suite une part active aux opérations de l'armée d'Orient jusqu'au jour où, par l'effondrement de la Bulgarie, elle rentra triomphante sur le sol de la Patrie affreusement dévastée."

Les brancardiers

"La mission des soldats brancardiers est des plus périlleuses. Elle consiste à aller relever les blessés sur les champs de bataille pour les transporter au poste de secours le plus voisin. Cette mission doit s'accomplir pendant et après la bataille, le plus souvent sous la pluie des balles et des obus. Elle exige du sang-froid, un grand courage, qui doivent s'accompagner de beaucoup d'humanité et d'un profond sentiment de pitié à l'égard des malheureux blessés pour lesquels il faut non seulement des précautions attentives, mais des paroles consolantes. Le corps des brancardiers a fait preuve d'un grand dévouement et il est l'un de ceux qui ont payé le tribut le plus élevé à la guerre par le nombre de ses victimes."

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